29/08/2017 Etude

« The young deal » les jeunes veulent changer le monde !

CSA / ASSOCIATION DES AGENCES-CONSEILS EN COMMUNICATION

LA DÉLÉGATION CORPORATE DE L’ASSOCIATION DES AGENCES-CONSEILS EN COMMUNICATION, EN PARTENARIAT AVEC LA CHAMBRE DE COMMERCE ET D’INDUSTRIE DE PARIS ILE-DE-FRANCE, PRÉSENTE L’ÉTUDE « THE YOUNG DEAL » RÉALISÉE PAR L’INSTITUT CSA.

« THE YOUNG DEAL » LIVRE 7 CLÉS DE LECTURE POUR DÉCRYPTER CETTE GÉNÉRATION ET AIDER LES ENTREPRISES

 

1 – CODE IS LAW : « Les Z ont le bon C.O.D.E. » Ils ont les qualités dont les entreprises ont besoin : CréativitéOuverture sur le monde, agilité Digitale, volonté de s’Engager, des dispositions qui constituent le C.O.D.E. ; de puissants leviers pour transformer le monde mais aussi pour transformer les entreprises et leur permettre de s’adapter au monde de demain.

 

75% des jeunes prêts à faire bouger les choses dans la société

 

2 – BREAKING GOOD : « Les entreprises sont le moteur du changement sociétal » – Les entreprises ont acquis aux yeux des jeunes une nouvelle et forte légitimité sur les questions relatives au progrès sociétal. Ils attendent des entreprises qu’elles prennent la parole sur ces sujets : 70% estiment qu’elles ne communiquent pas assez sur leurs engagements environnementaux, 66% pas assez sur ce qu’elles apportent de bien à la société.

 

L’entreprise, 3e acteur du changement sociétal(19%), à égalité avec l’école (11%) et devant le monde associatif (7%), et les partis politiques (4%)

 

3 – CALL OF DUTY : « Donnez du sens, vous recevrez de l’engagement » – Après la rémunération l’utilité du travail est le facteur qui pousse le plus à s’impliquer dans l’entreprise. Cette génération estime normal que l’entreprise exige d’eux de la performance, en contrepartie ils sont aussi exigeants vis-à-vis de l’entreprise. Pour elle, le sens est clé.

 

L’utilité du travail, 2e facteur qui poussent les jeunes à s’impliquer dans l’entreprise (35% des réponses), juste après la rémunération (48%)

 

4 – WRECKING BALL : « Chamboulez le rapport au travail, inspirez-vous des jeunes » – Les jeunes dessinent aujourd’hui les contours du monde du travail de demain : plus souple, plus ouvert et plus connecté.
Pour cette génération, les figures de la réalisation de soi dans et en dehors de l’entreprise se rapprochent, dessinant une forme de continuum entre vie personnelle et professionnelle.

 

« Les meilleures entreprises sont celles qui disent venez avec votre créativité » comme symbole de l’ouverture et connexion souhaitée entre l’entreprise et les jeunes

 

5 – LE MONDE OU RIEN : « Les jeunes veulent s’impliquer dans des entreprises où ils peuvent agir » – Les démarches RSE ne s’opposent pas à l’adoption d’une attitude opportuniste fondée sur leur propre réussite. Trop facile d’écrire une charte, d’afficher des valeurs sur un site ou dans un rapport RSE ; les jeunes interrogés attendent des actions concrètes !

 

91% de ceux qui pensent pouvoir vraiment changer les choses ont envie de s’impliquer dans l’entreprise

 

6 – HUMAN AFTER ALL : « Le digital au service du contact humain » – Des Millennials en attente d’échanges personnalisés, prêts à dialoguer avec une intelligence artificielle mais paradoxalement à la recherche de contacts humains, et qui plébiscitent les rencontres in real life, salons, forums emplois, fête de l’alternance.

 

Génération digitalisée certes mais qui plébicite l’échange direct en face-à-face (42% des interrogés)

 

7 – CITY OF STARS : « Ils seront vos ambassadeurs » – Aux frontières poreuses des sphères privées et professionnelles, les jeunes collaborateurs s’imposent comme les premiers ambassadeurs de l’entreprise. « La meilleure communication, ça ne vient pas de l’entreprise, ça vient des salariés » souligne Marvin, 23 ans, étudiant à l’école GESCIA. Mais si ce relai existe l’engagement ne s’exercera pas naturellement, c’est à la communication de les associer et de trouver des points de contacts avec leurs idées. En revanche, la volonté d’être des relais de progrès en interne est elle naturelle et évidente.

 

64% aimeraient être des relais digitaux auprès de leurs collègues moins agiles