Une personne interrogée sur sept (15 %) est «tout à fait» d’accord avec cette affirmation, pour 41 % de «plutôt d’accord». Un résultat qui, s’il ne dégage pas une majorité écrasante, montre bien qu’il y a, parmi les travailleurs, «une envie d’autre chose, d’un autre équilibre entre vie professionnelle et vie privée», explique Julie Gaillot, directrice adjointe du pôle Society.
Dans le détail, certains actifs souffrent plus que les autres de la place prise par leur emploi. C’est le cas des femmes (61 %), des personnes âgées entre 25 et 34 ans et des cadres.