Moins d’un Français sur deux (38 %) se définit comme étant superstitieux. Ce sentiment est corrélé à l’âge car, si 61 % des 18-24 ans se disent superstitieux, cette proportion décroît à 20 % chez les plus de 65 ans.
Pour autant, près d’un Français sur trois (30 %) associe le « vendredi 13 » aux jeux d’argent. Cette date symbolique touche plus largement les superstitieux, qui sont 43 % à assimiler le « vendredi 13 » à la chance et 20 % à la malchance.
Lorsque l’on demande aux Français ce qu’ils seraient le plus susceptibles de faire un « vendredi 13 », plus de quatre Français sur dix (42 %) seraient prêts à sortir de leur quotidien, notamment pour jouer à des jeux d’argent (30 %). Pour ces derniers, FDJ serait la complice de cette journée car 94 % joueraient à un de ses jeux de hasard.
D’une manière générale, les jeux de grattage et de tirage sont un rituel pour les Français, qui sont 62 % à y jouer, et même 76 % parmi les superstitieux.
A noter que les Normands et les Bretons jouent plus aux jeux d’argent que la moyenne (72 % en Normandie et 67 % en Bretagne, comparé à 62 % au niveau national).
Parmi les joueurs de tirage, les habitudes sont fortement ancrées. Près d’un joueur sur deux (48 %) utilise les mêmes numéros à chaque fois. Pour 43%, ces numéros correspondent à des dates marquantes, pour 42% à des dates d’anniversaire ou encore à des numéros fétiches pour 31 %.
S’ils ne se définissent pas comme superstitieux, les Français restent sensibles à des croyances personnelles et intimes. Plus de quatre Français sur dix (42 %) déclarent avoir un « numéro chance », en premier lieu le 7 (pour 13 % d’entre eux), qui est l’un des numéros les plus joués pour les jeux de tirage FDJ.
Parmi les objets portant chance, le trèfle à quatre feuilles est cité par 33 % des sondés, suivi par le fer à cheval (15 %).