A L’OCCASION DE LA 2ÈME ÉDITION DU BAROMÈTRE NATIONALE, L’OBJECTIF EST DE MESURER L’ÉVOLUTION ENTRE 2013 ET 2016 DE LA PERCEPTION DE LA QUALITÉ DE VIE AU TRAVAIL DANS LES ORGANISATIONS DE L’ÉCONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE.
LES CONDITIONS DE TRAVAIL
49% des salariés et 34% des dirigeants ressentent une dégradation de leur qualité de vie au travail au cours de ces dernières années. Un sentiment de dégradation qui se renforce.
Les sujets attribués à une dégradation de la Qualité de Vie au Travail (QVT) sont notamment les changements d’organisation (51%), la reconnaissance des compétences (33%), …
Plusieurs points de vigilance sont liés aux conditions de travail. La charge de travail (50%), pression temporelle (54%) et interruptions des tâches (62%) sont toujours ressenties par une majorité de salariés.
Les outils numériques ont un impact positif sur la qualité de vie au travail pour 88% des salariés et 95% des dirigeants de l’Économie Sociale et Solidaire (ESS).
LES PRÉOCCUPATIONS DES SALARIÉS
47% des salariés et 26% des dirigeants estiment que la fusion/regroupement a eu un impact négatif sur leur travail.
L’information sur les raisons des évolution sou changements n’est pas jugée claire et suffisante pour 38% des salariés.
43% des salariés perçoivent un déficit d’informations sur la mise en œuvre de ces évolutions/changements.
UNE RELATION AU TRAVAIL QUI DEMEURE GLOBALEMENT POSITIVE ET UN ATTACHEMENT FORT AU SECTEUR
83% des salariés et 93% des dirigeants déclarent avoir un sentiment d’utilité aux bénéficiaires.
Salariés (76%) et dirigeants (93 %) sont toujours largement satisfaits du contenu de leur travail avec une tendance à la baisse par rapport à 2013 davantage marquée pour les salariés que pour les dirigeants.